Dans le cadre d’un projet de dépollution, un prototype permettant d’étudier la capacité autoépuratoire d’un sol a été développé par notre service R&D. Combiné à une nouvelle approche, le prototype “BIOVENTAIR” permet de réduire les coûts de dépollution. Retour sur les détails du projet.
Comment réduire les coûts de dépollution des sols ?
Comment améliorer l’efficacité de la gestion des friches et mieux comprendre les mécanismes de dégradation ?
Peut-être en misant sur ces capacités épuratoires ? Et en cartographiant plus précisément les parties polluées du site ?
Comment faire pour limiter l’impact environnemental lors de la dépollution ?
Voilà des questions fondamentales que se posaient nos collaborateurs du service R&D en coopération avec un client spécialisé sur le domaine des sites et sols pollués.
Pour ce faire, nos ingénieurs ajoutent une étape au procédé de dépollution classique.
En effet, entre la phase de diagnostic et la phase de dépollution, nous :
Pour ce faire, notre service R&D a développé un prototype mobile, appelé BIOVENTAIR. Cet outil analyse la capacité autoépuratoire d’un sol, le tout sur le site à dépolluer. Son utilisation permet de réduire les frais de transports et le bilan environnemental durant la dépollution.
L’utilisation de ce prototype permet de réaliser un diagnostic biologique plus fin, une définition claire des capacités du sol et une bonne image de la stabilité ou de la volatilité des polluants dans le sol. En évitant des démarches superflues et en sélectionnant les techniques de dépollution les plus adaptées, BIOVENTAIR vous permet de réduire jusqu’à 50% le coût total de la dépollution.
„Vous souhaitez nous confier des tests de biodégradabilité thermique ou chimique ? Consultez-nous ! Nous saurons répondre à vos besoins.“